À l’école la question de l’ouverture culturelle, de l’ouverture à d’autres cultures, est un enjeu important à de multiples points de vue.

Robert, collégien en  ULIS, n’est pas du genre causant.  Un syndrome autistique a été récemment repéré. 

Moi, je fais pas comme vous dites. C’est plus facile pour moi de rien dire. Je regarde ce que font les autres et je fais comme eux.

Période un peu particulière pour l’ULIS : la salle du regroupement est en travaux. « Début janvier, vous y serez, pour l’an neuf ! »

Dans ma carrière de professeur des écoles, j’ai été amené à faire des choses étranges.

Texte destiné à défendre la mise en œuvre d’un projet pluridisciplinaire en collège.

Camille est une jeune fille de 14 ans scolarisée en ULIS collège ; elle bénéficie d’inclusions en Éducation musicale et en Arts plastiques.

Les mots ont un sens et il n’est pas donné à tout le monde de connaitre le sens caché de certaines expressions.

La remise en chauffage des écoles est une période difficile pour ceux qui ont une légère tendance à l’allergie.

Une réunion d’ESS (Équipe de Suivi de la Scolarisation) en novembre au collège.

J’arrive au collège à 8h30. J’ai cours à 9h10. Un peu d’avance pour m’installer dans la journée qui commence.

Francis, un de mes anciens collègues, disait souvent de ses élèves (pourtant certifiés inadaptés) « si j’ai compris, alors il n’y a pas de raisons qu’ils ne comprennent pas ».

Réunion d’ESS (Équipe de Suivi de la Scolarisation) pour Séverin. La maman est là et, pour la première fois, le beau-père.

Les vendredis après-midi sont difficiles pour des enfants de CP. J’ai fait le choix en regroupement d’adaptation de travailler sur autre chose que les apprentissages scolaires.

Il était arrivé après les conseils de classe du 2è trimestre. On connaissait ce genre d’arrivée de printemps…

Je pousse la lourde porte du collège ; la porte principale pour les professeurs et les visiteurs. Les élèves passent par le portail métallique qui donne sur la cour

Hier jeudi, en rentrant en classe avec les enfants nous rejoignons un petit groupe qui jouait sur l’ordinateur.

Fin de récréation au collège. Je rejoins les élèves, dans la cour, plus ou moins rangés devant le numéro de la salle de classe.

Tout allait bien jusqu’au moment où Charlotte, pour l’énième fois, se mit à rire fort et à avoir une attitude trop décontractée avec moi.

Salut Capitaine ! Bon alors vous êtes partis ? Ça y est ? Sûr ?

Dans le bureau de la CPE, Charlène, élève 4°, Yanis, élève de 4°ULIS, l’auxiliaire de vie de Charlène, et moi-même. La CPE est occupée ailleurs.

Je travaille depuis bientôt 8 ans pour une association dont les bureaux sont installés dans un vieux bâtiment, une « friche industrielle », géré et entretenu par la commune.

Une relation qui a du « JE »

Le travail en équipe voit parfois des marges se dessiner, peu ou prou, et se concrétiser en repas, sorties ou pratiques sportives communes.

Les fins d’année se répètent et se ressemblent. Elles sont différentes à l’école élémentaire et au collège. 

C’est un jeudi, fin de matinée. J’entre dans la salle, accompagnée des quatre CP avec lesquels je vais travailler en lecture.

Tous les élèves de mon cours de grec ont appris le sens du mot « démagogie »…

Parlez-lui d’enfants et vous verrez ses yeux pétiller et un large sourire illuminer son visage.

Mes cheveux gris semblent à présent me désigner apte à conseiller les jeunes collègues qui souhaitent embrasser la carrière d’enseignant spécialisé.

Chacun le sait, les enseignants du premier degré sont soumis régulièrement à une évaluation de leur travail et de leurs performances. 

Jour de rentrée à l’ULIS. Fort renouvellement dans l’effectif, six nouveaux élèves dont trois venant de MECS…

Longtemps les mardis soirs furent marqués d’angoisse. Le départ était prévu à 16 h 45 après la classe.